vendredi 23 août 2013

Sans anesthésie.



Sans préparation direct là comme ça le chaud à froid paf sans chi-chi sans préliminaires et quoi. Le sacré de l'instrument finalement il n'y a pas de raisons. Ce ne sont que des tabous d'imagination, l'empêchement des sensations. 
Antoine-Joseph Sax* était un bricoleur, un inventeur, un Géotrouvetou de l'acoustique bizarroïde, sans limite si ce n'est le son qui sonne. Alors finalement, la beauté est celle que l'on pose sur les objets, mais il ne faudrait pas à cause de cela ne plus y toucher. Et c'est ainsi pour tant de choses...


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