mercredi 2 octobre 2013

Ah mais si.




Fais-ci fais-ça, hein ? Ah mais oui ! Demain quoi ? et en 8 et en 15 ? Voilà ! C'est prévu c'est réglé, c'est okok, c'est sans surprises - sauf les aléas, itou (ouf!). Ouarf ! La vie musicien comme du papier musique (un certain papier musique - pas musical, à modifier, à élever, à bouleverser d'humanité, enfin), au carré, bien pliée. 



Reste la nuit. Liberté des envols sans corps et des évasions sans limites. Une petit musique, la vraie musique, entre les dunes du sablier et les journées trop éclairées.




Hey ! Pas de panique ! (Panique !? Vieux groupe - souvenirs...). Rien à voir. Mais quand même, si l'on y songe, la place des transports sans raisons et des espaces complétement libérés... sont si vastes et si minuscules. L'oxymore des endroits déformés. Riquiquis mais tellement immenses, en possibilités. 

Rêver alive/envie en vie, et créer et inventer et fantasmer et imaginer et transformer et décoller et voler - et se faire la malle en loucedé... dans ces petits et infinitésimaux coins de rien, où tant et tant se passe en y restant (to rest, rest, rest).


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