dimanche 17 novembre 2013

Entrer dans la danse, seul.





Enfin ! Car c'est là, au beau milieu du silence (grosso modo puisqu'il n'existe pas - surtout depuis Cage) que se jouent les libertés de jouer. Inventer pour le plaisir des résonances, sans se soucier des intérêts sinon de ses justesses, accepter les respirations qui se proposent sans s'inquiéter des atours et des contours des écoutes. La disponibilité d’intérieur. Et se laisser aller...


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