mardi 26 novembre 2013

Les plaisirs enfantins (toujours bien attachés)



Aller au planétarium (à Paris par exemple*) c'est comme un grand voyage, une équipée sauvage dans les espaces inaccessibles. L'Amérique ! l'Amérique ! Y croire pour sentir les immensités conviviales et pourtant inconnues, le confort des sièges et la tête en l'air et la tête en l'air !
Ça c'est unique. L'évasion spectaculaire dans un bunker, bien camouflé. Et la sensation des vols astronomiques, enfantins, rêveurs et bourrés de magie scientifique.

Ouvrir l'envie en faisant vivre en faisant croire à l'infini dans le fini, déshabiller la perspective, et rappeler les mystères à l'esprit, ceux que le quotidien met de côté comme si de rien n'était. 

Alors voilà. Le planétarium (par exemple) est une chambre à développer. Un stimulant survitaminé, un coup à la baguette illuminée, le transport dans les étoiles, mais oui, star trip sans retenue le temps d'une séance...
Et même si tout ceci est un moment un instant une éphéméride il reste ce gout indélébile, et fantastique.




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