dimanche 19 janvier 2014

Et l'Oscar.



Sombre et vide, et tellement profond. L'art des densités invisibles, qui s'immiscent. Oscar Benedek*. La part de l'ombre donc (et l'extra documentaire d'ARTE* d'Olivier Smolders). Mais aussi ce sens de l'observation et de la transformation, une photographie comme un vinyle à l'envers, qui révèle le photographe et l’intérieur des sensations. La dureté inimaginables des images parfois (les effroyables opérations), et souvent, la poésie de l'invraisemblable, de l'érotisme, de l'invention, de la singularité et des absurdités composées, de l'obsession sans contraintes ; les portraits aussi. L'art, bien sur, son indépendance d'esprit et sa liberté de création. Avec cette phrase qui revient... "de la beauté est la part du diable".

L'étrange encore... puisque les images ne se trouvent pas sur le web...



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