La recherche sonore est sans limite. Matière à inventer, triture, tournebouler, manipuler, qui sait, à modeler ou à fondre dans les histoires les abstractions les improvisations, ou, les installations. Et le son plastique des installations plastiques. C'est Bernard qui s'y colle, Bernard Leitner*.
Bien sur on connaissait les architectures sonores de Le Corbusier/Xenakis/Varése au Pavillon Philips*, mais ici il s'agit d'explorations des phénomènes. Une idée du volume et des masses invisibles.
L'invisible. Voilà une belle matière, amoureuse. Un feeling, une sensation, et l'impression parfois de se détacher des simples réalités. Car le monde est aussi un monde des inconnu(e)s aux effets désirables, mais à fouiller. Et le son est une manière sensible et ludique d'en sonder les possibilités.
L'invisible. Voilà une belle matière, amoureuse. Un feeling, une sensation, et l'impression parfois de se détacher des simples réalités. Car le monde est aussi un monde des inconnu(e)s aux effets désirables, mais à fouiller. Et le son est une manière sensible et ludique d'en sonder les possibilités.
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