Il faut peu de chose parfois. Une basse qui se traine, une voix voilée et des delays qui s'étirent dans le temps alangui, de nuit. La musique des plaisirs ou le plaisir de la musique qui s'infiltre et dessine le tempo de ce qu'il se passe. L'art de sculpter l'invisible et de donner chair au minutes qui filent.
C'est Bauhaus mais quoique se soit et qu'importe, le simple philtre des notes choisis ou des matières exposées à la sensation d'une nuit. Écouter c'est déjà toucher.
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