dimanche 9 février 2014

Sacré František Drtikol.






L'amour du corps, l'amour des ombres, l'amour des lignes. L'art et la manière de la courbe et des illusions qui s'y entrainent. Il y a du Kertesz dans ce Tchèque mais on voit aussi le présent du futurisme dans ces photographies. L'image en huis-clos ouverte sur la puissance poétique et géométrique des séduisants nus posés. Et pas que et pas que. L'utopie, l'architecture, le sublime fantasmagorique, une drôle de rêverie, un peu de mysticisme aussi et cet érotisme formel, mis en en scène comme une nature morte de chairs et de chairs.



 





















 

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