"La méthode Maxwell". Ça fait penser aux Maxell(s), mais non, pas du tout. Le nouveau petit (!) projet des FDH sera une nouvelle de Benoit Fourchard plongée rouge vive dans le son avec le regard extérieur "++" de Coco Bernardis.
Une histoire. 40 à 45 minutes de sons et de paroles. Très sobre dans la mise en scène et le décorum puisque l'idée est de n'asseoir ce feuilleton que sur l'environnement acoustique. Un pays sonore et, par infiltration, la nouvelle de B.F.
Mais quoi de neuf docteur ? Et bien, une proposition "spectaculaire" qui permettra de se plonger dans la musique comme plan de narration autonome. Inspirer des sensations abstraites et libre de paroles pour mieux imprégner la mémoire.
Laisser son temps à la dimension sonore, laisser se déployer le carburant aux imaginations de chacun. En effet, le temps musical n'est pas le temps littéraire, ni le temps théâtral. Tous répondent à des nécessités différentes. Le souffle d'une danse, le silence d'un texte ou l'hypnotique musique ne manipulent pas le temps de la même manière. L'enjeu se dévoile dans une double narration simultané. A chacun ses outils d'émotion et l'architecture de ses perceptions.
C'est un pari qui demande une confiance en la force autonome de chaque élément. Aucun n'est esclave, aucun n'est maitre, et les deux doivent se mettre en résonance. Mais une résonance au sens large, permettant les digressions hors champs, les envolées propre à chaque expression, laissant le champ libre aux fausses pistes des sens, à ce que l'on veut bien comprendre.
Le tout au service d'une histoire, dite, certes, mais aussi d'un périple acoustique et sensoriel. Vaste projet. Résidences en mars et avril.
Donc vraiment rien à voir avec les mythiques Maxell ! A suivre....
Une histoire. 40 à 45 minutes de sons et de paroles. Très sobre dans la mise en scène et le décorum puisque l'idée est de n'asseoir ce feuilleton que sur l'environnement acoustique. Un pays sonore et, par infiltration, la nouvelle de B.F.
Mais quoi de neuf docteur ? Et bien, une proposition "spectaculaire" qui permettra de se plonger dans la musique comme plan de narration autonome. Inspirer des sensations abstraites et libre de paroles pour mieux imprégner la mémoire.
Laisser son temps à la dimension sonore, laisser se déployer le carburant aux imaginations de chacun. En effet, le temps musical n'est pas le temps littéraire, ni le temps théâtral. Tous répondent à des nécessités différentes. Le souffle d'une danse, le silence d'un texte ou l'hypnotique musique ne manipulent pas le temps de la même manière. L'enjeu se dévoile dans une double narration simultané. A chacun ses outils d'émotion et l'architecture de ses perceptions.
C'est un pari qui demande une confiance en la force autonome de chaque élément. Aucun n'est esclave, aucun n'est maitre, et les deux doivent se mettre en résonance. Mais une résonance au sens large, permettant les digressions hors champs, les envolées propre à chaque expression, laissant le champ libre aux fausses pistes des sens, à ce que l'on veut bien comprendre.
Le tout au service d'une histoire, dite, certes, mais aussi d'un périple acoustique et sensoriel. Vaste projet. Résidences en mars et avril.
Donc vraiment rien à voir avec les mythiques Maxell ! A suivre....
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