dimanche 26 septembre 2010

A chacun ses casseroles.


Histoire de vie, histoire de voir. Petite ou grande, aussi. La métaphore comme guide, une boussole pour les ravissements. Et l'étoile polaire.
Le bout du bout de la casserole, même pas la grande, la petite. Une carte du tendre pour les yeux fondus dans l'imagination/contemplation des derrières (ca va encore jaser).

Au loin et proche ces/nos étoiles. Juste à coté par complicité mythologique, c'est vrai on les connait bien ces/nos casseroles, et bien lointaines en vérité - mais d'où cela vient ?
L'art des yeux transforment l'immensité froide en belle légende, Ursa minor et Ursa major pourtant lieux de faramineux accrochages cosmiques, soudainement Odyssée par l'imagination projeté. Il faut savourer se promener dans les lignes des grains du ciel.

Jupiter au plus proche* et c'est l'ensemble des rêveurs qui s'envolent. Normal. Cela bouge autour de nous ; le voyage permanent pour qui sait prendre le temps et temporaire - juste une passade, un salut - pour qui sait le boire.
Mais les casseroles restent. Suspendues là bas pour longtemps, toujours pour ceux d'ici, pour ceux d'en bas. C'est sur on aime les contempler encore longtemps et les parcourir d'un  regard émerveillé.

Pour les soirs de rêveries...

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