Un nouveau projet. Un projet punk tonitruant de la Cie Blah blah blah. L'idée (de Gabriel Fabing soutenu par Claire Girot - Blah blah blah donc) de mettre en scène tout un ensemble de klaxons modifiés, triturés, samplés, électrifiés et instrumentalisés.
Autour, une batterie sommaire, un baryton aux graves hypertrophiés, un mégaphoniste halluciné et des voix déjantés, allumés et indescriptibles. Le tout emporté par un esprit hurlant, libre, sans retenue et pour tout dire excessif.
Un concert de brouhaha klaxonnant et de punk contemporain ? Oui. Mais pas que.
Projet no limit. Mais projet musical qui remet au gout du jour la tourne enivrante, l'improvisation rentre-dedans et un esprit rock'n roll. Le gros son est de retour. Par ce biais pourquoi pas. L'improvisation n'a pas de style d'expression propre mais à connu ses écoles, ses périodes (minimaliste, bruitiste, sans rythme ou avec, électronique, électroacoustique, acoustique, sans instruments, abstraite, naïve, dadaïste, free-rock, canal historique....) et ses couloirs.
"Klaxoons", cette formation juvénile, sans contrôle, balade son décervelage dans des opéras affolés, des scènes cinématographiques de polars ou de quotidiens, des free jazz, rock, groove, dans des malpropretés de jeu, des sensations qui rappellent parfois Fantomas*, Père Ubu*, Le Grand Barnum, le New Burlesque*, Mike Patton*, Secret Chief 3*, This Heat*, l'électroacoustique à gros buzz, l'électronique lo-fi, Borbetomagus*, la capsule gaffée, le New Wave*, Albert Ayler* ou les larsens fuyants.
Et pourquoi pas. Oui pourquoi pas. La naissance de nouvelles choses appartient aux alliages inattendus. Sans a priori, seulement en provoquant l'équilibre. On ne sait pas, on ne sait pas ce que cela va devenir.
Finalement la musique révèle d'où elle vient. Par son hasard de circonstance. Le résultat des provocations à l'imprévisible. Il y à une part non maitrisable qu'il faut saisir. Au vol.
En improvisation, c'est un état, une suspension, un fil du rasoir qu'il faut maintenir vivace. Dans une nouvelle formation, c'est le futur qu'il faut esquisser.
Tout est là. Tout est à venir.
Ne reste qu'à mettre au grand jour les immensités retenues.
"Klaxoons" encore. On verra, on verra. Et sans attendre les extraits mp3 du tintamarre, du tohu-bohu, de hourvari, de la bacchanale... un bootleg !
Autour, une batterie sommaire, un baryton aux graves hypertrophiés, un mégaphoniste halluciné et des voix déjantés, allumés et indescriptibles. Le tout emporté par un esprit hurlant, libre, sans retenue et pour tout dire excessif.
Un concert de brouhaha klaxonnant et de punk contemporain ? Oui. Mais pas que.
Projet no limit. Mais projet musical qui remet au gout du jour la tourne enivrante, l'improvisation rentre-dedans et un esprit rock'n roll. Le gros son est de retour. Par ce biais pourquoi pas. L'improvisation n'a pas de style d'expression propre mais à connu ses écoles, ses périodes (minimaliste, bruitiste, sans rythme ou avec, électronique, électroacoustique, acoustique, sans instruments, abstraite, naïve, dadaïste, free-rock, canal historique....) et ses couloirs.
"Klaxoons", cette formation juvénile, sans contrôle, balade son décervelage dans des opéras affolés, des scènes cinématographiques de polars ou de quotidiens, des free jazz, rock, groove, dans des malpropretés de jeu, des sensations qui rappellent parfois Fantomas*, Père Ubu*, Le Grand Barnum, le New Burlesque*, Mike Patton*, Secret Chief 3*, This Heat*, l'électroacoustique à gros buzz, l'électronique lo-fi, Borbetomagus*, la capsule gaffée, le New Wave*, Albert Ayler* ou les larsens fuyants.
Et pourquoi pas. Oui pourquoi pas. La naissance de nouvelles choses appartient aux alliages inattendus. Sans a priori, seulement en provoquant l'équilibre. On ne sait pas, on ne sait pas ce que cela va devenir.
Finalement la musique révèle d'où elle vient. Par son hasard de circonstance. Le résultat des provocations à l'imprévisible. Il y à une part non maitrisable qu'il faut saisir. Au vol.
En improvisation, c'est un état, une suspension, un fil du rasoir qu'il faut maintenir vivace. Dans une nouvelle formation, c'est le futur qu'il faut esquisser.
Tout est là. Tout est à venir.
Ne reste qu'à mettre au grand jour les immensités retenues.
"Klaxoons" encore. On verra, on verra. Et sans attendre les extraits mp3 du tintamarre, du tohu-bohu, de hourvari, de la bacchanale... un bootleg !
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