mercredi 6 octobre 2010

Coller la nuit.


Ce n'est pas qu'une expression. Ou alors l'expression de supers nuits. Les supers nuits ? Mais oui. Celles qui nous collent, celles qui passionnent, les nuits à rester éveillés, les nuits sans sommeil, éberlués, entourloupé par les débauches d'idées ou les luxures de pensées. Les nuits sans pareils, entourés de tout le bigarré et des belles tigrées. Ou une bataille de polochon, pourquoi pas. La nuit comme elle va, la nuit qui colle ou la nuit qui se donne. 

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Et ce thème pourri ne fera pas l'affaire de ce billet. C'est sacrément mal parti. La nuit noire qui s'agrippe et le coup du sparadrap du capitaine Haddock. Faudrait voir à se décoller. On va pas rester collé le long de cette luisante. Se délester, prendre l'air, circuler, laisser filer, tout doux, tout doux, cool man cool. Et puis quoi. Ca tourne au vinaigre ce coin de postillion*. Même le correcteur d'orthographe en perd son Français, normal, on change de carte, on balance le bébé, l'eau et la bassine.

Bref. Nuit percée. Bref, la nuit déchirée. C'est pas tous les jours qu'on se fait coller, surtout la nuit. Salé.

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