lundi 4 octobre 2010

Musique des perspectives.



La musiciens et les architectes* font bon ménage*. Qu'est ce qui peut bien les rassembler*, sinon l'idée d'une forme, l'émotion d'une ligne et d'un trait, l'élégance de la courbe et la perfection d'un π  infini.
Pas seulement. Le papier millimétré pour les idées stochastiques* de I. Xenakis*, l'assistance informatique*, la répartition des volumes, le sens du physique et la sensibilité aux espaces acoustiques, la diffraction, l'écho, la réverbération, les mathématiques, les contraintes et les résistances, l'équilibre, l'audace, l'invention et la pointe des nouvelles technologies, l'envie de changer le monde à vue et à ouïe, l'espace*, l'espace, l'espace, l'air qui circule et les yeux qui roulent sur les lignes ?
Le Diatope* de 1978 fut une belle expérience, mais il y en eut tant d'autres*. Le pavillon Philips (1958)* déjà, avec les œuvres de Varése (Le Corbusier et encore Xenakis*) avait marqué le coup d'envoi.
Peut être un petit coup de rouge* de Vaux ensembles aussi...

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