ca se clique, ca se clique....
Elle n'est pas si loin et frise l'insolence. Quoi ? Comment ? M'enfin ! Il y aurait donc beaucoup, beaucoup de planètes habitables. Aie. Cela se corse dans la gestion des frontières du chacun chez soi. Qui va partager son coin de jardin inter-galactique ? C'était déjà pas facile dans les seuls environs terrestre mais si on y rajoute l'univers....
A nous de voir. Chouette nouvelle ou angoisse pour lendemains. En attendant, rien n'est sur, juste une présomption, un faisceau d'indices. Ça commence presque toujours ainsi. De doutes en éléments de preuve* pour en arriver à une évidence et se demander comment a t-on pu passer à coté de cela ! Gliese-581g*, l'impudente... Elle nargue les croyances. A cause d'elle (et de ses 492 exo-copines) les statistiques s'affolent, il y en aurait ainsi partout de ces mondes habitables. Des terres uniques dans tous les patelins. Ça la fout mal pour les divins et les narcisses. Pour les autres, c'est quand même une bonne mais las lointaine nouvelle.
Le cœur et sa balance*. Et nous voici avec deux amours d'un coup, ici et le lointain, le domestique et l'inconnu, le coin d'à côté et l'à côté de notre coin. Va falloir faire avec, se pencher sur l'un sans quitter l'autre et tendre à l'équilibre général. Ça balance, ça balance, forcément. Forcément. Mais comment faire sans ? Ne pas voir, ne pas aller voir. C'est tentant tout de même*. Quelques années lumières, cinq ou six parsec mais quand même au coin de l'œil, à porté de vue même si le temps à déjà fait son affaire sur les lueurs trompeuses (vingt ans d'histoire et l'arrivée*).
Nous voici tout de même bien emberlificotés avec ses deux béguins. Les belles étoiles et notre cher soleil. Décidément la nature humaine sera encore longtemps faite pour les dilemmes. Mais voir au loin, imaginer la rencontre du lointain ne peut qu'enthousiasmer. Encore une histoire nouvelle et tout réinventer, les points de vues et les anciennes manières. Ça frissonne là bas et ça bouge sous nos pieds !
Le cœur et sa balance*. Et nous voici avec deux amours d'un coup, ici et le lointain, le domestique et l'inconnu, le coin d'à côté et l'à côté de notre coin. Va falloir faire avec, se pencher sur l'un sans quitter l'autre et tendre à l'équilibre général. Ça balance, ça balance, forcément. Forcément. Mais comment faire sans ? Ne pas voir, ne pas aller voir. C'est tentant tout de même*. Quelques années lumières, cinq ou six parsec mais quand même au coin de l'œil, à porté de vue même si le temps à déjà fait son affaire sur les lueurs trompeuses (vingt ans d'histoire et l'arrivée*).
Nous voici tout de même bien emberlificotés avec ses deux béguins. Les belles étoiles et notre cher soleil. Décidément la nature humaine sera encore longtemps faite pour les dilemmes. Mais voir au loin, imaginer la rencontre du lointain ne peut qu'enthousiasmer. Encore une histoire nouvelle et tout réinventer, les points de vues et les anciennes manières. Ça frissonne là bas et ça bouge sous nos pieds !
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