Il doit y avoir de l'effet Pavlov* dans les messages du matin d'après minuit. Quand ceux ci n'arrivent pas on en bave franchement d'envie. Les clins d'œil des vols au bonjour lorsque l'on ouvre le courrier de nuit, voilà bien ce qui peut provoquer le besoin de récompense. Ouaf !
Le cerveau en attente* par le susucre ou la carotte ou la gâterie ou tout ce qui plait, sied, flatte, satisfait, chatouille, pelote, asticote, taquine, titille, dorlote, gamahuche, berce, bichonne, câline, cajole, encense, rassure, enlace, patine, saisi, déshabille ou ne garde que la petite tenue, et alors pour tout dire, ce qui s'espère, s'attend, se souhaite, comme un vœux d'après l'étoile filante... que l'autre à vu.
Le mail du matin donne du Pavlov* à la pelle quand il n'y est pas. C'est comme ça, on n'y peut rien. Et le spam ne compte pas (qui donc à encore besoin de Rolex for 2$ ?), bien évidement.
Message réveil-matin, message comme on donne l'aubade (c'est de l'argot et plus proche d'une gymnastique que de la chansonnette) ou message tracassin (c'est de l'argot et plus proche du Barreau que du chagrin), on aimerait bien savoir ce qui s'est décidé pendant que tout le monde semblait dormir. Et puis quoi, et puis voilà, la liste des reçus et des pas lus dés le patron-minette change la donne d'une journée et peut être même de la prochaine soirée. La vie comme elle va et tous conditionnés.
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