mardi 4 janvier 2011

3 en 1 dans ta face.

Je me marre doucement, pour ne pas te réveiller en tête, bah oui forcément, une pole position de circonstance, de correspondance. La poésie des dessous sans dessus, en Deux, alors, pour ne rien dévoiler tout en chiffonnant la pudeur des sentiments juste avant les futurs rougissants outrages, et cette voix qui décroche soudain sur les hauts talons, eh oui. La Trois, la trois, à toi, cheval de Troie d'une parole noire et sexuelle, agressive et violente, presque amère, ca flambe ca transpire, ca respire c'est sans retenue et idéal pour les noctambules assoiffés d'égarements. Et le reste des mots abominables pour le plaisir des loustics.
Reggae et after beat en buvant les paroles des ironies cinglantes de nous les affreux qui faisons avec ce que l'on à. Et ouais. Finalement onetwothreefour! c'est progressif, ca monte lentement, ca arrive peinard, avant de tenter le diable, tout un programme, puis all night long, le reste à voir et le reste à voir, faut pas pousser mémé dans les orties - et puis que vient-elle faire là ?

Love on the beat* comme une chaude et glissante nuit de polar extatique mystique. Question de feeling, de sexual healing, comme dans la vraie vie, ca balance entre le X et le B A ba, cynisme égoïste et self control de ce titre mais l'infaillible électrique des corps qui s'expriment. L'abandon des pouvoirs à la physique, tout à la dérive et le bateau ivre qui se paie de charnels et vénériennes lubricités.
La simplicité ne paie pas de mine et pourtant tout est là tout est là. Le jeu des mots et l'émotion fluide qui passe et trépasse, et qui redémarre car,  Ornicar, faut  pas se gêner dans l'autre vie, tout est permis. Kiss !*


ca ce clique, tranquille....

 
ca ce touche, léger, léger....

ca ce déguste, au point sensible, ca ce clique...

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