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Le blog* d'un peintre (et photographe et graveur et installateur et bricoleur et dessinateur et gouacheur et écrivain et pourfendeur et œnologiseur et constructeur et développeur et tant et tant), le grand art enfin à porté de main. Le voilà le voici, le pont le lien, le journal de bord, l'esquisse des merveilles à venir, le fond de pensée, le coin de table qui surgit.
Franck Hommage*, donc, ou l'art du vrai, une attention aux minuties et à cette densité des strates, visibles ou pas qu'importe. Tout est dans la matière, tout est dans la manière. Peintre comme l'on ressent et non comme l'on voit, sonder le corps, tenter l'apnée des profondeurs, et, la science des détails*, ces éclats d'ailleurs, ces fragments de pensée et d'expéditions, à venir en cours ou jamais plus jamais revues - volatiles pensées aux allures de fantômes discrets. On pourrait passer à côté.
Le corps, encore. Ce qui peut bien le tordre ou ce qui peut bien l'amener, à frémir, à bouger à éprouver, l'esprit coulant et le reste à la dérive. Le corps et ses sursauts, le corps et ses questions. Franck Hommage est un peintre des intérieurs, et pourquoi pas, un scaphandrier des intimités, pour voir, pour détailler, pour se jeter à corps perdu et pour déployer toute la complexité des desseins sur des apparences trompeuses. Une superficialité mise à l'épreuve des obscurités. Et de soi. Voilà l'image bousculée, gorgée d'un ailleurs à aller chercher, d'une possibilité à aller dénicher, d'une lumière à faire surgir. Le désir reste une Odyssée.
Facile d'avoir des idées, d'ailleurs ! Encore faut il les mettre en œuvre. Et tout est là. La mise en œuvre ou la lutte des essais, le baroud des techniques, l'acharnement des recherches.
Quoi. Faire sortir cette agitation précieuse. Une palpitation. Oui. Désaper la réalité si visible, la rendre à sa vérité, celle qui sourde, qui se cogne aux tristes corsets d'un monde aseptisé. Il faut la voler. Et faire rendre corps et âme à ce qui empêche de trembler. Et des marottes, des lubies, un paquet d'obsessions. Rien à redire, tout à tenter.
Ah ! Et grand luxe, il est du coin.
Ah ! Et grand luxe, il est du coin.
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