dimanche 23 janvier 2011

Le jeu des mobiles.



La vie en playmobil, raide comme une trique mais full de poésie. Enfance et cœur de pirate, la suite à l'abordage et qu'importe les risques. Simple comme bonjour!, l'hello! aussi rapide que buzz l'éclair ou que flèche bleue, il ne faut rien laisser, il faut tout essayer. Bip, go! et le circuit à ultra-sensations à fond les ballons. 
Et oui et quoi. Rêve d'enfant et simples plaisirs, sans réfléchir, parfois voilà le secret la clef le mystère des plus belles envolées, des sacrés supers

L'épée à l'air et le moteur à bloc, le champignon écrasé, à fond de train, à toute berzingue, le petit cheval blanc et tout le toutim devant, les fous, fulguropoings et bille en tête, Jets et Sharks dansants flirtants en quête, comme un Fred Astair king du tap dance, comme un bulldozer, tempo presto tempo allegressimo, no comodo, agitant le chiffon rouge, et tentant le diable avec les saintes, et, et traverser picadelly circus les yeux fermés tiens, vlan, à toute allure, à la belle allure, et les terres nues, vitesse V, à toute blinde, sans y penser sans même se retourner, comme si cela tombait du ciel de soi et sur les sens, un surprenant hasard, yeeees indeed, à fond dedans, sans caler, sans pause sans répits et tout le tralala en pâmoison, mais où va t-on ? Mais où va t-on ? Quoi ? Bah !

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