dimanche 27 février 2011

La vie double. La vie plus.



Et si la vie était double. Ou plus. Un envers un revers, l'ombre aux allures métamorphosées et qui racontent, autre chose, une autre histoire un ailleurs, rêvé, ou simplement dévoilé, étoilé. Les réalités ne sont pas, plus, forcément, uniquement, ce que l'on voit, mais alors, la réalité, cette sacrée, la fameuse, n'est pas uniquement ce que l'on perçoit, mais aussi, mais, enfin mais dès lors, la réalité, l'autre encore, la fumeuse, heureuse d'à coté, pourrait être, également, de la même manière, ce que l'on croit, ce que l'on veut, s'inventer, espérer.
La vie rêvé, des anges, des gens, inventive désespérée, n'est pas à oublier, à jeter, à rancarder, mais sans doute aussi, certainement, à visiter, comme un supplément, une fondation, l'élévation.
Cela se passe derrière le rideau, projeté, emmené, gardé au secret, et tellement, tant, très amoureusement, préservé, choyé, le jour d'après, et de suite de l'autre coté, dans l'envers des aspects, l'enfer de la vie simple au paradis de la vie plus, une chinoiserie, quoi, qui donne le la coi espiègle et des idées et des idées comme un coït, des deux, réalités.
On pourrait espérer, retenir, sentir, venir, l'un dans l'autre, et ce derrière qui file bon train, devant, ou, vice versatile échange de pensées, des deux mondes, des deux apparences, semblant autre mais pas, que, trompeuse, sauf de l'ennui, sauf de la simple, vie. 
Il faut apprécier les dichotomies, les hiatus et les fantasmagories, scories délicieuses, fentes et trésors, et, une frontière, invisible, inutile, qui ne fait rien, qui ne dit rien, et laisse, encore toujours souvent, passer, transpercer et piocher, une, espérée.


clique mon bon, clique....

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