dimanche 6 février 2011

Le document "Cosmic Love".



Il y à des documents qui se donnent des airs de secret de Polichinelle*. Après la Zone 51*  et le triangle des Bermudes* (et sa fameuse Patrouille 19), quid de ces pages brulantes aux allures d'Habits neufs de l'Empereur* que l'on appel pudiquement Publication 14-307-1792 / STS-75-experiment n°8.
Ne pas lâcher le morceau de suite est l'enjeu à suspens de ce billet, car que se cache t-il derrière ces lettres étranges et le Cosmic Love sinon un trésor, peut être. On dirait quand même des idées d'amour en l'air comme un appel au sens stellaires et le 7ème au milieu des éthers - ce qui met le rideau à grimper assez haut, ou juste un canular pour parler de ce que tout le monde parle sans en parler ? Polichinelle.

Les yeux guettent un avertissement, un indice ou la carte aux merveilles, histoire de se délecter des richesses d'une inconnue ou des provocations à l'expédition hors normes. Certes, c'est compréhensible. Tout vient du Space Biomedical Research Institute ce qui pourrait bien donner outre les gages de sérieux nécessaires, des pistes ou tout du moins une intuition de ce grand secret.

Hum. La symphonie  de Krzystof Penderecki Magnificat* irait bien pour annoncer ce qui va suivre (Stanley Kubrick ne s'y est pas trompé*).  Si on l'annonce. Car rien n'est certain en ce domaine même si les secrets les mieux gardés sont ceux auxquels on doit penser en permanence. Ennuyeux.

Cosmic Love. Rien que d'y songer cela fait rêver. Voici les malices excitantes de Luna Park** (oui, le premier, celui avec les Tunnels of love*) qui déboulent dans le champs des imaginations scientifiques. Ça bouge dans tous les coins, Dark-rides* et Roller-Coasters (type Intimidator 305*, Infusion* ou autres*), grand huit à hautes sensations et frissons des nuits. Le Cosmic Love à l'affaire c'est tout une histoire à dormir debout. Les yeux grands ouverts.

Bah. Ce n'était qu'une question* et un document*. Pas de quoi en faire un plat. Quoique...


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