vendredi 4 février 2011

Pleine lune sur les lunes.



Oh. Ah. La fesse érotique à l'alibi artistique désapé, la fesse à l'art la fesse bol d'air. Et Arte, heureusement pour la garanti du sérieux des recherches. Que dire que faire laissez les faire les fesses, balancer, et le reste de l'arrière de l'avant. 
Ça chahute ca transperce, et les billes éberluées, ca bascule ca entraine étonné le cœur décroché, ca séduit direct, c'est un style, un Courbet pour certains, sacré coquin qui acoquine tout le toutim. 
Et le regard discret qui flatte flouté les faces cachées, les fesses révélées, comme autant de paysages que l'on ne pourrait manquer d'admirer, c'est une élégance d'esprit du corps. Mais, voilà l'arrière-train qui file. A peine dévoilé déjà envolé.

Lune pleine et jeu de la bougie, clair-obscur, c'est un fait, la fesse inspire la fesse donne à l'art ce que l'art saute chercher. Le désir des courbes singulières, un appel d'air, un truc pas piqué du derrière. L'enfer est ailleurs, ou bien alors, oui, le paradis est peut être ici sur terre.

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