ouaip, ca se clique....
Bah. Quand on ne sait quoi dire, quand on est occupé ailleurs, quand on écoute des drones* ou d'autres supers* (+ documentary*) en même temps que le temps file à ne pas savoir quoi écrire, quand on est focalisé sur un autre message impatient à scribouiller pour ne pas être marron, quand il est 3h28 "am" comme ante meridiem* et là bien avant midi et que tout se pose et se repose, quand personne ne vous ennui de coup de fil, quand la nuit s'épaissit et que l'esprit s'éclaircit, quand la seule question est de savoir si "s'éclaircit" prend un "t" ou pas et que la question elle même, peut être, comporte la faute d'orthographe de la phrase qui pousse à la question, quand les minutes s'égrènent sans gravité car sans utilité si ce n'est d'écouter les alentours de la journée d'avant ou d'après, quand l'esprit batifole et se permet de ne pas compter, quand les fumetti étonnent détonnent en bouchent un coin**** mais ne détournent pas tant d'autres émotions douces comme des souvenirs baisers qui planent de nuit, quand on réécoute G* pour le plaisir de son point de vue ou que l'on plonge dans les insondables et les irrésolus* mais que la suite surprendra bien plus encore, quand décidément la lecture des 20000* passionne mais pas tant que les entres-lignes du Magazin des suicides* et que la fin d'un livre approche et que l'on retient et que l'on retient, quand l'être demande à la gravité d'être une poésie** sans réponse mais pour la beauté de la question, quand tout cela file et circule au gré des heures et des suspensions délicatement troublées, quand tout ceci ne suit plus le court des pensées... il ne reste plus qu'à jouer et cliquer sur la photo-écusson de billet.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire