Fun à Lunéville qui flash Pince de Crabe* (moult photos*) à La Méridienne* pour deux jours.
Le vieux théâtre* à l'italienne* accueil et les sub-basses et les images synthétiques comme une rencontre du 3èmes type au creux des lambris dorés et des yeux du jeune public <10. Un vieux briscard de cent ans au rideau de fer* et aux élingues d'opérette (on ne dit pas "corde" au théâtre*, ni "bonne chance" d'ailleurs, même si les fiacres ne s'y arrêtent plus) qui s'effacent dans les pigeonniers, balcons érotiques un peu fanés.
Le vieux théâtre* à l'italienne* accueil et les sub-basses et les images synthétiques comme une rencontre du 3èmes type au creux des lambris dorés et des yeux du jeune public <10. Un vieux briscard de cent ans au rideau de fer* et aux élingues d'opérette (on ne dit pas "corde" au théâtre*, ni "bonne chance" d'ailleurs, même si les fiacres ne s'y arrêtent plus) qui s'effacent dans les pigeonniers, balcons érotiques un peu fanés.
Il y a encore des Jours de fête dans ces lieux qui se prolongent à vivre en faisant grincer les parquets d'antan et les lustres inimaginables au luxe clinquant. On allait au théâtre embourgeoisé comme on allait un dimanche de sortie, beaux habits et grande occasion des 31*. Ce n'est plus pareil, mais l'esprit encore y invite.
Et voilà le théâtre des anciens qui se fait bousculer par les jeunots de nos jours heureux. La garde ubuesque des avant-gardes éclectiques ou des rétrogrades rangés débarquent au milieu du plateau des projos PAR16 et du gril* toujours en bois. Light my fire baby.
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