vendredi 1 avril 2011

Trop fan de...



De ceci de cela, parfois on y peut rien, fan d'un bout ou fan du tout, c'est un manège un sacré carrousel, enchantements et sortilèges, une histoire super perso des narcoses qui turlupinent ou d'une jolie poupée qui transperce d'aiguilles follement fines. 
Ce que l'on à dans la peau, au fond du cerveau ou au bout de la lorgnette, on n'y peut on n'y peut, c'est un envahissement de ribambelles, c'est fou cette débauche tyrannique du fan de ceci et du fan de cela, drôle de manière de caresser en y pensant, curieux mariole. 
Le brin de folie des jetés qui s'agrandit, l'obsession fidèle agrippée au cervelet comme un reptile des temps agités. Maboule de ceci et cinglé de cela, le cirque des drogués de ça. Totalement insensé.

Et d'ailleurs ca revient ! Et d'ailleurs, ici, c'est déjà reparti ! C'est sans limites !

Fan de ...  !

Et fan du ... ! 


Mais surtout... fan de ces...  !!

Et voilà la ritournelle des idées folles et impudiques qui se mettent à valser comme une danse fanatique. Et Gotainer, fieffé partenaire qui tourne les têtes à tue-tête en chantant ce qui plait aux groupies frénétiques, folles et trempées des mots de sirop sucrés aux jeux d'adultes narrés.
Fan de ceci et fan de cela, c'est le coup de Trafalgar BoUmBadABoum d'une surprise pour  les piqués, l'ivresse d'une fée verte, alcool d'homme et came de mordus, férus ferrés du truc pas prévu. Trop fort. Too much.
Plus que tous, dés le premier coup et au premier rang pour ne rien louper, les gourmands s'enflamment à n'en plus finir, le cerveau en feu et la soif d'un Haddock en manque d'old whisky. Bon sang, une fois pris, une fois épris, fan de ceci et fan de cela, on n'y peut, on n'y peut. Que dal.

T'es coincé, t'es foutu, cuit, carbonisé, jusqu'au bout de la nuit te voilà barjo aliéné, sans regrets c'est l'esprit qui bouillonne et ce bout de soleil qui fait valdinguer dans tous les coins, fée clochette à toute volée. 
Les foldingues courent après les uns et les unes tels des Huns complétement toqués, malades d'être si foufou de celui ci et de celui là, comme tel est pris. Le timbre du timbré, la chanson des fadas, bis repetita placent ou haec decies repetita placebit, sans rire, qu'importe le latin, que l'on paume en perdant la boule comme un dingo bien frappé bien tapé. Blam. Ça, c'est ouf !

Fan de ceci et fan de cela, mais surtout, fan de ces...

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