On ne peut pas on ne peut pas, toujours tout foufou traverser, des mers et des ciels, des faims et des soifs, sans arpenter l'impossibilité qui oblige à rêver, de l'autre côté.
Alors il faut se jeter, tête baissée au sein de l'inconsciente liesse de ce cœur volant au bord des grèves, et laisser se déposer les traces temporaires et laisser s’effacer sur le sable du paysage mouvant, le territoire éphémère, aussi grand que le présent.
Au perron des corniches hésitantes survolées de soleils languissants, ourlets de pierres fantasmées emballées par le vent, subsiste une immensité invisible, juste entre terre et mer, juste entre corps et pensée, un revers de l'endroit, indéfini, qui se livre, dans les fuites, et qui luit, dans la nuit.
L'antre de l'entre, en équilibre et secrètement, offre l'infini du bord des impossibilités. Comme un nouveau monde au dessus des réalités.
Et l'au delà, borderline du bord de l'île, fleur flottante, parfumée d'aventure et de liberté, enrubanné d'esprit bigarré, trempe ses pieds et son regard dans le joyeux concert du son d'ailes si ensorcelantes...
What’s your name ?
What’s your name ?
What’s your name ?
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