lundi 31 décembre 2012
La série des frigos (épisode n°3).
Que
montre un frigo, un frigidaire, un réfrigérateur, sinon un intérieur
intime et personnel, un monde à soi organisé à la va vite comme on le
pense, comme c'est pratique. Plus que l'on n'imagine, car à -7 on peut voir, complice, la manière dont on vit et dont on se livre.
La série des frigos c'est cela, un coup d'œil à mettre au frais pour partager la chaleur des chez-soi impudiques.
La série des frigos c'est cela, un coup d'œil à mettre au frais pour partager la chaleur des chez-soi impudiques.
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la série des frigos
dimanche 30 décembre 2012
samedi 29 décembre 2012
Direction... suivez le guide.
A shortcut to hell - Yvette - 1957
Raccourci vers l'enfer ? Allons allons Yvette, ce n'est pas la peine. "A deux pas de l'enfer" (en fr)... mais non mais non, on ne voit pas de quoi de quoi. Suivez Daisy, suivez du regard Yvette Vickers, ouioui celle de The attack of the 50ft woman*, playmate joueuse à ses heures (Playboy 59*) et simple fille n/b d'un joli plan à mater là ici de suite, et sans suite.
Le propos de ce billet ? Aucun. Décidément. La berezina des idées ou la simple pensée de ce qui peut éveiller les matous mateurs autour d'un jeu du dada des derrières.
C'est la loose des pensées (méta-physiques).
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le temps qui passe
De bon matin, et quand on le veut (la vie rêvée).
Et... la beauté des mécaniques, poésie de l'inutile et de la vie des sans vie. C'est du paradoxe que nait le merveilleux. C'est de l'impossible que jaillit ce qui fait espérer. Non ?
ca se clique pour sur
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oh une vidéo
vendredi 28 décembre 2012
Titre de massage.
Entre ce que l'on traine et ce que l'on espère il y a parfois des ombres de lumière. Mais oui, un paradoxe youplaboum pour ne pas s'en faire. Art et désirs, curiosités et plaisirs. C'est tout l'attrait qui reste à poursuivre dans ce qui n'est pas connu ou encore dévoilé. Qui sait.
Et donc, pendant les période d'arrêt des travaux divers et variés (Noël et dinde - voilà le prosaïque, merveilleux obligé), il reste juste de quoi laisser passer un rayon de laisser aller.
C'est le problème des mots posés. Les voilà sempiternellement dévoués aux moments privilégiés, ceux délaissés et qui leur sont consacrés. D'où leur couleur, souvent bleue, souvent rêveuse, parfois décalée.
Pourtant, ambiguïté, ce ne sont pas des instants sans densité, ni oubliés ni désaffectés, mais une part ouverte et imprévisible de la journée - nocturne, nue ; sauvage. Joyeux ou noyés de spleen, on ne sait jamais par avance, mais sans arrêt volontaires ouioui à explorer ou à fondre dans les airs frais des moments aux fenêtres grandes ouvertes.
L’intérêt ? Aucune idée si ce n'est le jeu des idées, l'envolée aussi, l'envolée.
Alors, pendant un full set of Tortoise*, en voici quelque uns fait et inventés pour simplement garder le fil complice et enthousiasmé avec l'invisible, ce parfum qui flotte sans relâche et plein de bienfaits. Et les yeux lecteurs différés.
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le temps qui passe
jeudi 27 décembre 2012
Minutes, secondes, puis sans temps, la seconde intercalaire.
Et la seconde intercalaire*, celle qui traine invisible et fantomatique ses dessous impudiques et sans mathématique. Un lieu-dit, un revers de l'envers du décor, l'ailleurs du temps qui laisse la place aux souffles de l'imaginaire et des intuitions. C'est la seconde atomique (forcément en bikini méta-physique), le feu follet des arithmétiques, l'invraisemblable physique et l'art et l'art et l'art de se rapprocher de l'universel. Le temps sans temps, celui qui visite les atmosphères et se laisse embobiner dans la stratosphère. Une pensée, une fugacité, une caresse des idées et des envies fantomatiques. Après cela il reste cette seconde éphémère et sans temps qui flotte et se faufile dans ce qui reste d'ultime et sans fins fantasmagorique.
fantastique.
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le temps qui passe
Time to die.
J'ai vu tant de choses que vous, humains, ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion. J'ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l'ombre de la porte de Tannhäuser. Tous ces moments se perdront dans l'oubli comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir.
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oh une vidéo
I wanna tell about a girl.
Ah wanna tell ya 'bout a girl
You know, she lives in room 29
Why... Why... that's the one right up top a mine
Ah start to cry, Ah start to cry
O Ah hear her walkin'
Walkin' barefoot cross the floor-boards
All thru this lonesome night
Ah hear her crying too.
Hot-tears come splashin on down
Leaking thru the cracks,
Down upon my face, Ah catch'em in my mouth!
Ah catch'em in my mouth!
Ah catch'em in my mouth!
Walk'n'cry Walk'n'cry-y!!!
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nick cave
mercredi 26 décembre 2012
Salut à toi la Terre !
Soooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo, relax Max ! Grasse matinée détachée après le trac des rencontres apocalyptiques. Ouuuuuuuuuuuuuuf après le truc de ouf. La Terre est toujours là ! Et vu de la Lune... elle parait suuuuuuuuuuuuuuuuuuper cool ! Bon. A la suite ! A la suite !
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le temps qui passe
La douceur des mots.
Il y a les mots pour toujours et ceux pour toujours. Ce sont ceux - sexe oral ou écrit - qui ont laissé cette trace délicate qui vibre et masse encore et encore les esprits et les corps. Des mots bien ficelés qui emballent et déshabillent les sensations et les sentiments.
C'est tout de même incroyable cette capacité qu'ils ont à jouer des tours encore et encore même après avoir séchés sur le papier (ou l'écran bleuté, ça marche aussi). Une résistance à l'oubli et l'émotion qu'ils transportent en passager.
Le plaisir des mots. Ces beaux mots, doux et transparents et échancrés, déposés sur un coin d'instant, pour un long temps épinglé. Nostalgie de la lumière* - à peine donnés qu'ils vont continuer peut être à briller, s'exciter, phosphorer, se tenir au chaud pour les explorations futurs (l'écho des ivresses, l'écho des frissons). Comme une minuscule création qui résiderait dans chacune de leur idée, sertie, un présent qui ne sera jamais dévastée, la beauté des confidentialités dans leurs lettres emmêlées, ce pin's de passionné.
On les aime aussi pour cela les mots. Pour leur immense simplicité. L'art qui parait inutile et futile et illusoire, et qui pourtant donne un sens à ce qui se trame le long des quais imaginés.
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le temps qui passe
mardi 25 décembre 2012
lundi 24 décembre 2012
Au coin du feu.
Juste pour dire. C'est une fête. Et juste une pensée. En ce jour sans tête. C'est à peine si. Mais quand même. Ça traine quand même. Marrons chauds et voilà. Une crème de clin d'œil, un minuscule bout de saveur, une odeur, un fil à imaginer. Intuition télépathique, transmission de rayons sympathiques, wouhouhouuuuuuuuuu. Une couleur cambrée forcément et un feu de bijoux sonores imaginaires, et Baudelaire pour vêtement de pensée. Pas que. Si peu. Mais quand même, mais quand même. Chouette c'est jour de fête (demain) ! Sonnez trompettes ! Euh... barytonez ! Ça se trémousse le long des idées passagères. Yeah Yeah Yeah !
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le temps qui passe
dimanche 23 décembre 2012
3h44.
Big Show nocturne. Le catch de la nuit, "le coup de la corde à linge" et seulement deuuuuuuuuuuuuux... hum, il y à moins de monde après minuit, mais c'est plus grand plus surprenant plus détonnant. Quand le sommeil ne gagne pas, il reste l'éveil des sens, imaginations en folie et corps affalés. Par dessus la troisième corde ! C'est dingue c'est fou, et on envoie la barback huilée dans les airs, yeah. La vie les yeux grands ouverts avec les faux méchants c'est sacrément plus rigolo.
Les petits travers.
Qui font le sel qui font le sel. Minuscules découvertes et petites habitudes que l'on aime pour mieux aimer. Et ben oui et ben quoi. Le détail qui tue et donne à toute la journée le léger. Hophophop !
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Parfois, pas toujours.
Loris Binot 5tet joue Roscoe Mitchell Aux Oliviers - Rue de la Source à Nancy
Il n'y a pas de "petite date". Chaque événement musical, en public ou pas, est une petite mort que l'on peut aimer et investir comme la dernière. C'est une attitude sans prétention mais qui donne à penser que le son et la musique et l'émotion peut survenir n'importe où - celle que l'on ne connait pas celle que l'on ne peut imaginer celle que l'on ne peut prévoir celle qui fortuitement joliment inexplicablement à tout chamboulé. Dans une grande salle comme dans un petit resto de la rue de la Source à Nancy, pourquoi pas pourquoi pas, mais aussi par hasard au détour d'un exercice ou d'une répétition.
On ne sait pas ce que va produire un instant dans un moment. Qui pourrait dire qu'un jour une surprise lumineuse sortie d'un chapeau anodin ne l'a pas saisi pour lui donner le gout de la cerise ?
C'est la beauté de ce que l'on n'a pas encore touché. Il suffit de savoir que cela peut débarquer et laisser grand ouvert les gourmandises de ces merveilles incertaines. L'amour de ce qui pourrait arriver autour de ce qui est.
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le temps qui passe
samedi 22 décembre 2012
Mémoires enfantines.
qui c'est c'est qui ?
Dans les esprits d'adultes, enfantins. Mais oui ! Redessiner le Monde à coup de flashbacks no limit. Amours simples et directs, on aime on rigole on s’embrasse et hop. La vie comme dans un film, à slurper (slurp slurp) la soupe des extra pas terrestres bien sympatoches et méga super potos. Ben ouais.
Et puis aussi et puis aussi ! Voir briller dans les yeux des mémoires enfantines toute l'histoire magique des passés rêvés et jamais oubliés. Ces babioles de fée, ces feux follets de souvenirs et de jeunesses qui ont tant donnés à se gondoler.
L'intimité rigolard des histoires traversées. Une confidence à la mesure immense qui se cache derrière le présent maintenant devenu - là là là lalala lala là, juste derrière le sourire, juste derrière cette pensée interne, vaste domaine secret et confidentiel aux contours sans limites rempli d'extraordinaire, de cowboys et d'indiens, de chansons et de passions, tout ce qui fait les rêves et l'avenir et les joies et l'amour de la vie, d'aujourd'hui.
Pour celui qui regarde l'événement astronomique et qui touche un court instant du regard ce territoire fantastique et caché, pour ce happy veinard, unique et exclusif, pour lui donc, ouioui pour lui c'est une chance inouïe.
Et puis aussi et puis aussi ! Voir briller dans les yeux des mémoires enfantines toute l'histoire magique des passés rêvés et jamais oubliés. Ces babioles de fée, ces feux follets de souvenirs et de jeunesses qui ont tant donnés à se gondoler.
L'intimité rigolard des histoires traversées. Une confidence à la mesure immense qui se cache derrière le présent maintenant devenu - là là là lalala lala là, juste derrière le sourire, juste derrière cette pensée interne, vaste domaine secret et confidentiel aux contours sans limites rempli d'extraordinaire, de cowboys et d'indiens, de chansons et de passions, tout ce qui fait les rêves et l'avenir et les joies et l'amour de la vie, d'aujourd'hui.
Pour celui qui regarde l'événement astronomique et qui touche un court instant du regard ce territoire fantastique et caché, pour ce happy veinard, unique et exclusif, pour lui donc, ouioui pour lui c'est une chance inouïe.
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Les envahisseurs.
Il y à parfois des êtres étranges venus d'ailleurs au cœur cambré. Mais ce n'est pas pour un cauchemar qu'ils sont apparus soudain, plutôt pour un ailleurs. Un drôle d'envahisseur des idées et des envies. C'est cela qui fait le sel, finalement. La possibilité de rencontrer l'extra-terrestre, la chose le truc le bidule inattendu qui débarque d'une pochette surprise volante et se pose comme si de rien n'était - dans un brouhaha de lumière.
A chaque journée l'étonnement. De voir ou d'apercevoir ce que le Monde n'a pas préparé. Poésie des enchantements enchanteurs qui traverse discrets le rayon des mirettes affolées - de tant de rayonnement.
Et sous le coup des nudités déballées d'X-ray d'emballements, c'est ce luxe du petit rien qui transforme les quotidiens.
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Déroute. Que dit la biroute ?
Pornographe en rade interlope, esprits & corps en fièvres de cave, et le reste en laisse peinard. Les mots des flammes de l'enfer, alors quoi, manquent parfois pour le trottoir des pensées sexy célestes. Comment faire monter la mayonnaise c'est la question c'est la question qui vrille les impatiences nyctalopes. Vulgarité des mickey maousses* qui refusent de s'écrire lestes pour jouer, ah mince. On voudrait bien poser des mots sulfureux aux goût d'anis et aux saveurs d'ambre et d'épices mais parfois les beautés glissent, fuyant l'ébat et l'espièglerie spirituelle. On à beau proposer l'imagination à ZoGa (pomper en langue experte et Shadok*) mais rien ne sort. Pas de truculences ni de sous-entendus bien envoyés dans ta face. Damned. Que faire quand la fée inspiration des finesses cochonnes et lubriques manque ainsi à l'appel des nuits brouillées. Page noir pour les noirceurs d'amusements aux X clandestines. C'est la bérézina, la déroute des biroutes d'esprit donc, celles qui aimeraient se fantasmer enflammées dans des phrases au suc d'alambic licencieux. Bah bah bah. Une prochaine fois...
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vendredi 21 décembre 2012
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