vendredi 17 février 2012

Boarding pass.




Il est temps de dégivrer, de se déglacer s'échauffer s'enflammer s'allumer s'embraser, prendre la poudre d'escampette et aller chercher le soleil, les extrêmes, la volupté ou la folie physique, c'est l'érotomanie du coquillage, le frisson d’Hawaï, d'Honolulu, et pourquoi pas ! Honolulu ? L'île à stars, le coin doux doux qui sonne comme le pseudo à tomber de Louise Brooks, l'endroit des paradis, le bon côté des bannis, et les bikinis et les bikinis, qui flashent comme des big bangs atomiques. 
Tu connais pas Honolulu mon loulou relou ? Allons, il est temps de s'extraire, s'envoyer en l'air, faire comme ci et comme çà, prendre l'air la PAN AM le large et tout le reste pour se payer des siestes au soleil et ne plus casser des cailloux de Cayenne. Hophophop ! Quitter les grands froids pour tenter l'austral, l'isolé, le paumé, le méridional, le point x sur la carte des ensoleillés. Exactement. Et chasser le poisson-lune avec le pingouin du coin pourquoi pas, et escalader les volcans étalés, aux allures de monts assoiffés. On s'y croirait. Zieutes les plages commak ! Crèmes solaires et patati et patata.
"Boarding pass" siouplait en main, c'est tout à toi pour savourer sur les belles beaches, des sables bien roulés, lentement caressés, et le flux et le reflux qui ne peut s'empêcher. L'horizon isole les histoires à trésor, l'île perdue à changée de point de vue. Bien fait.









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