vendredi 27 avril 2012

L'érotisme de polaroid.



Guy Bourdin*. Et ses polaroids érotiques (pas que pas que). Quand le glamour moderne - il à travaillé pour Vogue - s'émancipe et prend ses ailes à son cou pour filer dans les hautes atmosphères*. David LaChapelle* avait fait de même et l'on retrouve dans ces polaroids un sentiment d'universel. Une question d'outre-corps, d'outre-sexe, d'outre-finalité séduisante. C'est l'attrait fétichiste de l'érotisme à portée philosophique*.

Et voilà aussi le surréalisme, et voilà aussi le télescopage des incongruités, des corps détournés aux poses suggestives annihilées. Une manière d'extraire un réel différent, enchanté, recrée de la banalité.
Il suffit parfois de peu de chose. Un regard, une juxtaposition, pour donner aux imaginations la liberté d'y puiser les horizons. Et l'insolite féminin comme intense excitation.










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