Et pendant que les extérieurs soufflent leur pleurs (brrr, on dirait un film d'horreur), les intérieurs font sonner les bijoux sonores. Il faut aller chercher, trifouiller au fond des idées pour fabriquer les mondes inventés de toutes pièces. C'est une recomposition du réel en irréel bien réel, la transformation des éléments concrets en abstractions aux imaginations ouvertes. Une bande-son finalement n'est qu'un filtre (d'amours acoustiques sacré loustic). Une mécanique à baguenauder au delà de ce qui est. L'illusion enchantée.
Le Don qui shot (ici) se prépare et tout ce qui pourra servir à rendre perceptible la vision invisible d'une folie et d'une utopie baladeuse et bravache se pose tout d'abord dans les temps intimes et repliés à confectionner les espaces bruyants. Des temps comme auprès d'un feu de bois à tripatouiller et multi-diffuser, version algorithmique.
ATCHOUM (en cachette) !
début de résidence du Don qui shot pour RING*
résultat les 22, 23 et 24 novembre, soon donc.
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