mercredi 27 novembre 2013

Au delà du 7ème ciel, le 8ème.




Il n'y a plus rien que l'air des jours apaisés, fantômes qui nagent dans les soleils d'hivers de Terre. Au dessus des passions terrestres, se faufilant entre les vapeurs et les jolies nues, on dirait bien qu'un peu d’inaccessible étoile s'illumine pour exhiber l'impossible.

Il y a des terres sans lois ni frayeurs, des horizons d'utopies, des relations inouïes aux contours illimités et aux courbes inespérées, des silences admirateurs comme un sifflement de zef, une beauté transparente, rêveuse, boudeuse... qui claque, frondeuse. Des châteaux dans le ciel, au delà du 7ème, on dirait bien que commence l'invisible et l'autre côté, sensation cache-cache, fugace et joueuse, audace tremblante et troublante du mystique loustic 8ème, là ou dandinent les belles licences.

Et cette lune, quartier d'été, dans le ciel, douceur d'idée qui se balade dans les sillages d'un corsage, parfumé.



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