samedi 9 novembre 2013

Et puis.

après le Body Building* (last but not least), après minuit



Il reste dans l'air du temps un peu de ce parfum de l'émotion à peine passé. Un zest de sensation, le  tempo de la nuit indéfinie finalement qui fait durer le plaisir unique et intime des regards cambrés à peine croisés.
Juste après, et oui, comme un geste qui continue ou un soupir qui vient mourir au bord des confidences. C'est incompréhensible, perdu dans le vague des pensées et de l'after beat, que reste t-il sinon ce fantôme fantasme sensible, ce beau rien fragile qui occupe l'esprit. 
Et puis peut être n'est ce que cela, ce qui titille, la mémoire vive, l'infinie minuscule qui s'infiltre et fait sursauter, mutine. Encoreencoreencore.


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