jeudi 18 novembre 2010

BoUm, ça tue.


clique clique donc petit curieux....


Ce qui tue parfois c'est le pantalon en cuir ! Il faudra un jour tenter une thèse sur les extravagances entre la mode vestimentaire et la musique de haute voltige. Une telle distance entre les étonnants ne peut rester sans recherche. Mais Psappha de Xenakis ne cesse quand même de fasciner. L'art du silence découpé en 10:03 minutes, ce sens du fil tenu ténu et la musique qui circule en permanence, entre chocs et cloches. Steve Schick a la classe chic et cet événement sonore est au dessus des trivialités.
Rock'n roll et punk des musiques contemporaines. Ferneyhough* dans le style percussif nique ta mère est tout aussi passionnant, et le décalage cette fois n'est pas dans le pantalon mais dans le "Mac-partition" (ce qui ne surprend guère vu le type de partition* - cf Cassandra's dream song - mais avec changement de page à 7:22 par la baguette : là, bravo maestro !). L'autre question des banalités qui entourent les musiques exceptionnelles et les phénomènes curieux est cette télécommande posée côté cour (à gauche) sur la table. Quid ? Et le saura t-on un jour ? Voilà encore un mystère de plus dans l'étendue immense de ces drôles de musiques contemporaines....

Aucun commentaire: