Après le coup du "saxo" (cf précédent billet* et l'expression du torride) comme objet glam et provocant, on se demande ce que le champagne, le chocolat et les fraises réunis à l'étage peuvent bien avoir comme charme émotionnel.
Mais quelle chance. C'est noël. Rien à voir, quoique, le champagne...
Quand même ! Il faudra un jour se pencher avec curiosité - comme un Roland Barthes et ses Mythologies* en 1957 - sur les nouveaux symboles des appétences forcés de partager.
Pour le chocolat ("Sweet movie"*, avec une Carole Laure qui donne d'ailleurs ici* de sacrés indices, fut le premier choc) et le champagne* on peut avoir une idée (si si), mais pour la fraise (ou autre*) ? Il va falloir se creuser les méninges ou tenter la périphrase ébouriffante pour définir la nouvelle gourmandise érotique 2011.
Mais la fraise (tagada tagada petit cheval) risque de rester un grand mystère pour les amateurs d'exaltations pendant l'hiver rigoureux. L'ocytocine* de la raclette aussi sans aucun doute.
Mais quelle chance. C'est noël. Rien à voir, quoique, le champagne...
Quand même ! Il faudra un jour se pencher avec curiosité - comme un Roland Barthes et ses Mythologies* en 1957 - sur les nouveaux symboles des appétences forcés de partager.
Pour le chocolat ("Sweet movie"*, avec une Carole Laure qui donne d'ailleurs ici* de sacrés indices, fut le premier choc) et le champagne* on peut avoir une idée (si si), mais pour la fraise (ou autre*) ? Il va falloir se creuser les méninges ou tenter la périphrase ébouriffante pour définir la nouvelle gourmandise érotique 2011.
Mais la fraise (tagada tagada petit cheval) risque de rester un grand mystère pour les amateurs d'exaltations pendant l'hiver rigoureux. L'ocytocine* de la raclette aussi sans aucun doute.
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