samedi 22 janvier 2011

L'époque sur l'alternative.

cliques Baby, cliques.... et sombre dans les beautés noires... Dream, Baby, dream.


Suicide* ou les sombres beautés bourgeonnantes. Électronique et minimal, synthétiseurs vintages (dorénavant) et pédales de dingue, protopunk transporté par cette voix rock'n roll teinté de Presley,  presque rockabilly, le farfisa en boucle, une immersion hypnotique dans les bas-fonds, un manteau de sons froids et enivrants. Juste avant les révolutions*. Fuck ! Le CBGB* comme une église (ce qui est rare****) pour la future newwave ou les musiques industrielles.

Suicide donc ou la chevauchés des fantômes*, ces New-yorkais qui ont tellement fait, pour le Velvet*, les New York Dolls*, les onetwothreefour Ramones*, Lydia Lunch* et son amoureux d'altiste*, Nick Cave*, Christophe* (et oui**), mais aussi pour la libération des structures de la chansonnette à papa. 
Une musique Baudelérienne, trempée dans les affres et les poésies glacées. Une chaleur différente finalement, un emportement des sens par la pétrification*, le minimalisme répétitif, l'anesthésie délicieuse, l'expérimentation curieuse, l'avant-garde de tout et du moment.

Et la douceur d'une balade délétère*. Cheree cheree je t'adore Baby, My comic book fantasy, Oh come play with me....


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